Une nouvelle ordonnance (n° 2020-430) relative aux congĂ©s et JRTT vient de paraĂ®tre, prise sans aucune concertation et avec beaucoup de mĂ©pris pour les agents publics, impose la prise de jours de rĂ©duction du temps de travail ou de congĂ©s
aux agents placĂ©s en autorisation spĂ©ciales d’absence, et le cas Ă©chĂ©ant, de ceux exerçant en tĂ©lĂ©travail, pendant la pĂ©riode de confinement.
Le ComitĂ© des Syndicats CGT ville de Paris rĂ©affirme que les agents ne sont en rien responsables de la gravitĂ© de cette catastrophe sanitaire, les seuls responsables sont celles et ceux qui par leurs choix politiques ultralibĂ©raux (abandon de la recherche publique, privatisations et fermetures de pans de l’hĂ´pital public, fermeture d’usines de fabrication de masques….) font aujourd’hui peser sur la population un très lourd tribut.
Le dispositif qui découle de cette ordonnance a comme principe que les agents placés en ASA, suite au confinement nécessaire afin de limiter la propagation du virus, seraient en congés !
La CGT condamne de telles mesures et rĂ©affirme que cette pĂ©riode de confinement n’est pas une pĂ©riode de vacances, la DRH l’a elle-mĂŞme, prĂ©cisĂ© lors du CT.Central du 20 avril dernier.
En consĂ©quence, la CGT vous demande, puisque vous n’y ĂŞtes pas obligĂ©e, de ne pas appliquer ces mesures aux agents de la ville de Paris.
Un prochain ComitĂ© Technique central est prĂ©vu, la CGT demande que cette question soit Ă l’ordre du jour. Elle rĂ©itère le respect de toutes les prĂ©rogatives de cette instance et par consĂ©quent demande que les dossiers prĂ©sentĂ©s soient soumis pour avis aux organisations syndicales.
La CGT entend prendre toutes ses responsabilitĂ©s d’organisation syndicale dans cette pĂ©riode, afin que seules les missions essentielles de services publics puissent continuer Ă rĂ©pondre aux besoins des usagers mais jamais au dĂ©triment ni de la santĂ© ni des droits des agents de la ville de Paris.
Le CT.C ne peut se limiter Ă Ă©mettre de simples recommandations prĂ©conisĂ©es par l’administration centrale. Il doit entĂ©riner des dĂ©cisions formelles applicables Ă toutes les directions de la ville de Paris, en recueillant l’avis des organisations syndicales, chacun est Ă mĂŞme de prendre ses responsabilitĂ©s. Nous dĂ©plorons et dĂ©nonçons compte tenu des recommandations de l’administration, Ă la suite du CT.C du 10 avril dernier, la disparitĂ© d’application inacceptable des directions en matière de congĂ©s.
Nous condamnons Ă©galement les propos de certaines directions concernant les dispositions du «dĂ©cret n° 2020-404 du 7 avril 2020» relatif Ă la prise en charge des frais de repas des agents mobilisĂ©s dans le cadre de cette pĂ©riode, sur la base du barème forfaitaire de 17,50euros/jour.
Madame Levieux, PrĂ©sidente du CT.Central, a prĂ©cisĂ© lors du CT.C du 10 avril qu’elle reviendrait vers les OS après l’Ă©tude de ce dĂ©cret. Mais force est de constater, soit une dĂ©cision de l’autoritĂ© municipale a Ă©tĂ© prise et non transmise aux OS, soit les directions agissent encore selon leur bon vouloir !
Par exemples :
Les messages aussi Ă©logieux soient-ils ne sauraient suffire et deviennent caducs lorsque les actes ne suivent pas.
La prime octroyĂ©e aux agents ne peut ĂŞtre un « fourre-tout » vous dĂ©sengageant vis-Ă -vis de dispositions favorables aux agents.
Le comitĂ© des syndicats vous demande d’appliquer les dispositions du dĂ©cret relatif Ă la prise en charge des repas pour tous les agents de la ville de Paris et du CASVP qui sont mobilisĂ©s sur le terrain.
Le ComitĂ© des Syndicats CGT ville de Paris rĂ©affirme que les agents ne sont en rien responsables de la gravitĂ© de cette catastrophe sanitaire, les seuls responsables sont celles et ceux qui par leurs choix politiques ultralibĂ©raux (abandon de la recherche publique, privatisations et fermetures de pans de l’hĂ´pital public, fermeture d’usines de fabrication de masques….) font aujourd’hui peser sur la population un très lourd tribut.
Le dispositif qui découle de cette ordonnance a comme principe que les agents placés en ASA, suite au confinement nécessaire afin de limiter la propagation du virus, seraient en congés !
La CGT condamne de telles mesures et rĂ©affirme que cette pĂ©riode de confinement n’est pas une pĂ©riode de vacances, la DRH l’a elle-mĂŞme, prĂ©cisĂ© lors du CT.Central du 20 avril dernier.
En consĂ©quence, la CGT vous demande, puisque vous n’y ĂŞtes pas obligĂ©e, de ne pas appliquer ces mesures aux agents de la ville de Paris.
Un prochain ComitĂ© Technique central est prĂ©vu, la CGT demande que cette question soit Ă l’ordre du jour. Elle rĂ©itère le respect de toutes les prĂ©rogatives de cette instance et par consĂ©quent demande que les dossiers prĂ©sentĂ©s soient soumis pour avis aux organisations syndicales.
La CGT entend prendre toutes ses responsabilitĂ©s d’organisation syndicale dans cette pĂ©riode, afin que seules les missions essentielles de services publics puissent continuer Ă rĂ©pondre aux besoins des usagers mais jamais au dĂ©triment ni de la santĂ© ni des droits des agents de la ville de Paris.
Le CT.C ne peut se limiter Ă Ă©mettre de simples recommandations prĂ©conisĂ©es par l’administration centrale. Il doit entĂ©riner des dĂ©cisions formelles applicables Ă toutes les directions de la ville de Paris, en recueillant l’avis des organisations syndicales, chacun est Ă mĂŞme de prendre ses responsabilitĂ©s. Nous dĂ©plorons et dĂ©nonçons compte tenu des recommandations de l’administration, Ă la suite du CT.C du 10 avril dernier, la disparitĂ© d’application inacceptable des directions en matière de congĂ©s.
Nous condamnons Ă©galement les propos de certaines directions concernant les dispositions du «dĂ©cret n° 2020-404 du 7 avril 2020» relatif Ă la prise en charge des frais de repas des agents mobilisĂ©s dans le cadre de cette pĂ©riode, sur la base du barème forfaitaire de 17,50euros/jour.
Madame Levieux, PrĂ©sidente du CT.Central, a prĂ©cisĂ© lors du CT.C du 10 avril qu’elle reviendrait vers les OS après l’Ă©tude de ce dĂ©cret. Mais force est de constater, soit une dĂ©cision de l’autoritĂ© municipale a Ă©tĂ© prise et non transmise aux OS, soit les directions agissent encore selon leur bon vouloir !
Par exemples :
- La DFPE exprime lors de son CHSCT du 3 avril dernier que la prime de 35 euros sert Ă©galement aux repas, dĂ©placements des agents…..
- Le CASVP annonce, lors de son CHSCT tĂ©lĂ©phonĂ© du 10 avril qu’il n’appliquera pas ces dispositions aux agents puisqu’une prime de 35 euros/jours de prĂ©sence est dĂ©jĂ versĂ©e !
Les messages aussi Ă©logieux soient-ils ne sauraient suffire et deviennent caducs lorsque les actes ne suivent pas.
La prime octroyĂ©e aux agents ne peut ĂŞtre un « fourre-tout » vous dĂ©sengageant vis-Ă -vis de dispositions favorables aux agents.
Le comitĂ© des syndicats vous demande d’appliquer les dispositions du dĂ©cret relatif Ă la prise en charge des repas pour tous les agents de la ville de Paris et du CASVP qui sont mobilisĂ©s sur le terrain.
Dans l’attente de rĂ©ponses de votre part, veuillez agrĂ©er Madame la Maire, nos salutations les meilleures.
Pour le Comité des Syndicats CGT ville de Paris
Maria DA COSTA PEREIRA
Pour le Comité des Syndicats CGT ville de Paris
Maria DA COSTA PEREIRA
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire